VILLES EN CORPS SONORES
VILLES (ENCORE/TOUJOURS) SONORE
LA VILLE TOUTE OUÏE, OU NON !
A t-on (déjà) (vraiment) écouté la ville ?
Écoute t-on (encore/toujours) aujourd'hui la ville ?
L'écoutera t-on (encore/toujours) demain ?
Est-elle (encore/toujours) aussi diversifiée à l'oreille qu'elle l'a (peut-être) été ?
Est-elle (encore/toujours) si bruyante, ou si calme, qu'on le dit ?
Et dit-on (encore/toujours) qu'elle est (très/trop) bruyante ?
La ville nous raconte t-elle (encore/toujours) des histoires ?
Nous racontons-nous (encore/toujours) des histoires de villes ?
La ville continuera t-elle (encore/toujours) à nous raconter des histoires ?
Imagine t-on (encore/ déjà/enfin/toujours) une ville à l'écoute ?
Les sonorités urbaines peuvent-ellles (encore/toujours/enfin) être perçues comme des objets esthétiques ?
Peut-on (encore/toujours) à minima différencier les sources sonores urbaines entre elles ?
Trouve t-on (encore/toujours) un intérêt à écouter la ville ?
Quel intérêt trouve t-on (encore/toujours) a écouter la ville ?
L'intérêt croissant que l'on porte à la ville, tout secteur confondu, y compris sonore, sera t-il (encore/toujours) durable
?
Peut-on être (encore/toujours) (agréablement ou désagréablement) surpris par l'écoute de sa ville ?
L'artiste a t-il (encore/toujours) son mot à dire dans la complexité d'une écoute environnementalement normalisée
?
La ville peut-elle (encore/toujours) inspirer des musiques ou ambiances sonores, donner matière à composer de nouveaux
espaces sonores ?
Peut-on (encore/toujours/enfin) composer des espaces sonores en ignorant la ville ?
La construction urbaine peut-elle (encore/toujours) ignorer les urbains écoutants, ou sensés l'être ?
ET AVEC TA VILLE, TUS T'ENTENDS COMMENT ?